Pour c-elles/ux qui ne receveront pas de carte postale de Russie

J’avais vraiment prévu d’envoyer une carte postale de temps en temps à certain-es d’entre vous, parfois j’en ai promis une par pays. Mais là, après 1h de queue à la poste (les timbres ne s’achètent qu’à la poste), et bien la guichetière a annoncé à Simon qu’elle était en rade de timbres. J’ai donc reçu un seul timbre à 25 roubles pour la France, et l’unique carte postale devrait prendre 1 mois et demi pour peut être arriver chez ses destinataires. Toutes mes excuses, j’ai vraiment essayé. Je me rattraperai en Mongolie si c’est moins compliqué…

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Bilder von der Transib’ / Photos du transibérien

Eine Zusammenfassung auf Deutsch von meiner Reise wird bald kommen. Aber erstmal, weil ich sicher bin, dass ihr lieber Bilder sehen wollt, ein Paar Bilder von der Moskau-Irkutsk Strecke (87 Stunden).
Pour les francophones, il y aura des enregistrements de mon carnet de bord du transibérien qui seront bientôt mis en ligne. En attendant, voilà quelques photos du trajet Moscou-Irkoutsk qui a duré 87h.


unser Zug an der Bahnhof in Moskau / Notre train à la gare de Moscou


Mein Fahrkarte / Mon ticket


Vegetarisches Essen, von einem Gleis wo es Pause gab / De la bouffe végétarienne achetée sur le quai dans une gare où il y avait une pause


Sur la photo suivante : l’eau chaude du wagon, pour faire les kilos de soupes déshydratée des 56 pasagers.
Auf dem folgenden Bild : die warme Wasserkanne für die Instant-Food zu vorbereiten.

Unser beste Freund : die heisse Wasser kanne / Notre meilleur ami : la reserve d'eau chaude


Simon arbeitet für Radio Sterni / Simon travaille pour Radio Sterni


Paysage industriel / Industrielle Landschaft


Rot-Schwarz... / Rouge et noir...


Leben ins Wagon / Vivre dans un Wagon



Le chemin parcouru / Der weg hinter mir.


Une photo pirate : le reflet dans un train qui passe / Ein pirates Bild


Unsere Zug nach Wladiwostok / Notre train vers Vladivostok


Unsere Mitbewohnerinnen / Nos collocatrices


Le train vu par la fenêtre ouverte des chiottes du dernier wagon


Ein andere Blick aus dem Klohfenster des letzten Wagons


Et puis la photo pour laquelle j’ai pris une tape de la part d’une grand-mère.
Und das Bild, für welche, ich von eine Oma geschlagen wurde.

Jaja, meine Breitwinkel ist nicht so toll... / Oui oui, mon grand angle est pas terrible...


Nur zu probieren, alle die Bilder als Galerie / Juste pour essayer, toutes ces photos en gallerie.
Update 01/10/2010 : j’ajoute 3 photos un peu moins ratées…

Notre train en gare / Unser Zug am Bahngleis


Eine Landschaft, vom Zug gesehen / Un paysage vu du train


Un village / Ein Dorf

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Bilder von Moskow / Photos de Moscou

Wieder Bilder ! Artikel mit viel Text über die 87 Stunden im Zug  kommen bald…
Encore des images. Pour les francophones il n’y aura pas d’article sur les 87h de transibérien, mais des lectures de mon carnet de bord 🙂
Pour vous faire patienter, voilà Moscou :

Dans l’enceinte du Kremelin  / Im Kremelin






Au pied des murs du Kremelin / An der Wand des Kremelins

Moi sur la place rouge, parceque quand même / Ich auf dem Roten Platz…

La relève de la garde de la flamme perpetuelle / Füsse hoch !

Simon rêvait de faire le touriste parfait… / Simon träumte, als Tourist sich fotographieren zu lassen 🙂

Les vitrines sont pratiques quand on ne parle pas russe

Schaufenster sind doch einfach für uns die kein Russisch sprechen

Ah, les cosmonotes… / Ach, die Kosmonoten

Simon und Lenine…

L’entrée de l’expo soviétique / An der Eingang der Soviet-Expo

Mockba by Night

Nur darüber sage ich was :
Juste sur celle là, je vais dire un truc :

Devant la place rouge, il y a un espace un peu bizarre. Les gens viennent s’y faire photographier, et jètent une poignée de petite monnaie par dessus leur épaule. Ça doit porter chance je pense. En tout cas, ça porte chance aux grands mères qui attendent dans le dos des touristes et qui ramassent les pièces…
Vor dem roten Platz, es gibt eine komische Ort. Die Leute kommen da, um sich fotographieren zu lassen. In der Zeit, sie schmeizen eine Paar Münzen über ihren Schulter. Es soll wahrscheinlich glück bringen. Es bringt auf jeden Fall ein bisschen Glück, für die Omas die da warten und die Münzen hollen…

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Moscou

Nous sommes parti-es de St-Petersbourg jeudi soir et sommes arrivés à moscou samedi matin à 6h00, à la gare “d’octobre”. Comme nos sacs sont très lourds et que notre coach surfing ne pouvait nous acceuillir qu’à partir de 18h, nous avons laisser nos sacs à la consigne de la gare. Les consignes de la gare de Moscou fonctionnent bizarement. Ici, pas de casiers sous clef. Un grand espace au sous-sol est reservé aux consignes. On y trouve 6 ou 7 guichets différents, avec des horraires d’ouverture complémentaires. À chaque guichet, quatre crénaux d’ouverture d’une heure. En gros, l’heure de dépot détermine les horaires auxquels il est possible de récupérer ses bagages, ce qui n’est pas des plus pratique. Le guichet ouvert à 6h du matin nous obligeait à récupérer nos bagages à 15h, et le prix se fait au poid. Pour nos 60 kg de bagages, autant dire qu’on a douillé.
On a profité de notre première matiné pour visiter le kremelin et la place rouge.
Le Kremelin
Le Kremelin est une forteresse au milieu de Moscou. Ça n’est pas seulement l’endroit où sont concentrés les institutions politiques de la russie, mais c’est aussi un lieu qui héberge 5 cathédrales.  L’entrée au site est payante : 350 roubles pour le ticket le moins cher, 700 roubles pour le programme complet. Un des gardiens nous a dit qu’il y avait un ticket à 100 roubles pour ne pas entrer dans les cathédrales, mais notre niveau de russe n’a pas permis de le négocier, et celui-ci n’est pas indiqué sur la grille des tarifs.
L’intérieur des cathédrales n’est pas très impressionnante, où du moins, ce qu’on peut en voir est assez limité. J’ai simplement bien aimé dans l’une d’elle des illustrations religieuses dont le style pourrait s’apparenter à la BD moderne.
Le Kremelin étant également un centre politique, il est très surveillé. Ça n’est pas forcément évident pour le touriste moyen de savoir ce qu’il est permis de voir, et ce qui ne l’est pas. Les coups de sifflet des flics sont un moyen assez sûr de ne pas se tromper quand on essayer de s’approcher d’un lieu à accès restreint.
En substance, l’architecture des cathédrales vaut le coup d’oeil. Pour le reste, en faire le tour par l’extérieur permets déjà de bien saisir l’impression que les institutions politiques sont protégées à la mode moyenageuse par cette forteresse.
La flamme perpetuelle
Autant il est difficile de percevoir les traces du communisme à l’intérieur du Kremlin, autant elles l’entourent de manière impressionnante. D’un côté, on trouve une rangée de stelles aux noms des capitales des pays soviétiques. À côté des quelles la flamme éternelle de la révolution brûle. Ce feu est gardée par des soldats formées spécialement à la chorégraphie. De temps à autre, la garde est relevé par 3 nouveaux soldats. La chorégraphie consiste en une marche où les jambes sont à angle droit, et où les mains heurtent les fusils en rythme. La rotation des soldats à leurs postes de garde est aussi digne du balais.
La place rouge

De l’autre côté du Kremelin, on trouve la célèbre place rouge. Pour ce-lles qui connaissent Gilbert Becaud, oubliez ça. La plac;e rouge n’est pas vide. Elle est remplie de touristes. En gros on y trouve la célèbre cathédrale en sucre, le musée national à la crème chantilly, et le mausolé de Lenine. Derrière Lenine, on trouve les tombes de tous les grands noms de la révolution Bolchévique. J’aurais bien voulu cracher sur le tombeau de Staline, mais le gardien était pas très loin…
Pour voir le corps de Lenine, il faut faire une longue queue. Environ 20 minutes, avec 2 barages de police pour gérer les foules. Le premier barage gère les accès à la place rouge pendant les heures d’ouverture du mausolé. Le second donne accès à une consigne où l’on doit déposer les gros sacs, les couteaux, appareils photos et autres appareils d’enregistrement. C’est la police qui gère les premiers contrôle, mais la sécurité à l’intérieur du mausolé semble assuré par des soldats. La plus grande partie de leur travail consiste d’ailleurs à faire un très joli “chut” en mettant le doit devant leur bouche lorsque les visiteurs parlent à l’intérieur. Je me demande bien pourquoi autant de monde vient voir Lénine. Pour ma part, je ne sais pas trop. Un mélange entre des restes de ma sympathie communiste, et de curiosité. En tout état de cause, il n’est pas possible de s’arrêter devant lui. Simplement marcher lentement autour de lui, pour l’apercevoir dans sa boite en verre. En tout cas, c’est malgré tout un peu marquant…
L’exposition soviétique

Le jour suivant, nous sommes allés visiter un autre endroit de l’époque soviétique. À l’instar des expositions universelles, les pays du bloc soviétiques exposèrent leurs prouesses technologiques et architecturales en 1965 au nord-est de Moscou. À chaque pays soviétique son bâtiement. Notre hôte (un poil stalinien, mais gentil) nous a expliqué qu’il était jadis utilisé pour exposer toutes les fabrications soviétiques, et que c’était un endroit très apprécié des populations pour aller s’y promener et regarder. Aujourd’hui, l’ensemble architectural est resté. Par contre, le contenu a été réinvesti par de petites boutiques qui vendent à peu prêt tout et n’importe quoi. À l’extérieur, les stands de brochettes alternent avec les stands de tir à la carabine et autres attractions forraines. J’avoue que j’ai subis à la reconversion commerciale du lieu. J’ai profité des nombreux marchands d’accessoires d’appareil photo pour m’acheter un grand-angle premier prix et une vrai fausse batterie pour mon appareil photo. En négociant sans trop me forcer, j’ai eu 30% de reduc par rapport au prix initial…
Ambiance générale
D’une manière générale, j’ai trouvé Moscou plus facile à vivre que Saint-Petersbourg. C’était peut être le fait d’y être le week-end, mais les gens y parraissaient beaucoup moins stressés. Mais ce faire une impression en 2 jours, c’est un peu dur.

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Photos de Saint-petersbourg / Bilder von Sankt-Petersburg

Update 24.09.2010 / 2h30 (GMT+8) : les photos de Peterhof
Voilà quelques photos pas trop commentés, comme ça ça marche dans les 2 langues.
Hier sind welche Bilder nicht zu viel kommentiert, damit es OK für beide Sprachen ist 🙂
Saint-Petersbourg / Sankt-Petersburg




Les ponts s’ouvrent la nuit… / Brücken öffnen sich am Nacht



Peterhof



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Zusammenfassung. Berlin-Moskow

Naja, ich weiß, ich bin nicht so schnell, um die französiche artikel zu Übersetzten…
Bevor es noch schlimmer wird, mache ich für euch eine kurze Zusammenfassung der Letzte Woche. Es wird kurzer als die französiche Version, aber dafür, kriegt ihr neue Informationen zu erst 🙂
Ich werde auch glaub ich ab jetzt Post mit nur Bilder machen, die für beide Sprache verstandbar sind 🙂
So. Wir sind am 11.09 von Berlin los gefahren. Richtung Rostock mit einem Wochenende Ticket, um dort die Fähre nach Helsinki zu nehmen. 29 Stunden auf einem estonisches Schiff, wo es internet gibt… Da haben wir die billigste Ticket gekauft, und wir haben unsere erste Russer der fast kein Englisch spricht kennen gelernt. Sehr Lustige “Konversation” im Sicht… Eigentlich, haben wir auch probiert ein Paar Wörter zu lernen, obwohl es nicht so einfach war.
Wir sind am Montag um 7:00 in Helsinki angekommen. Da müssten wir durch dem Stadt, um an die andere Haffen 7 Stunden später anzukommen. Da hatten wir einem Fähre nach Tallin in Estonia (2 Stunden). Eigentlich, war dieses Fähre irgendwie nutzlos, weil die meisten Leute von Helsinki nach Sankt-Petersburg mit dem Bus oder Auto fahren. Viele haben über uns gelacht, wegen unsere kleine Umweg nach Estonia… Naja, wir haben noch Tallin kurz besistigt, und es ist eigentlich eine schöne Stadt (ein paar Bilder, gibt es in der Fransösische Artikel). Noch wichtiger für mich, Estonia ist wirklich sehr interessant, wegen seinem sehr hoch “Geek-Attitude”. Ich schreibe irgendwann eine Artikel darüber, aber es gibt irgendwie WLAN überall, und alls kann über Internet gemacht werden. Auf jeden Fall, es war nicht wirklich so teurer durch Estonia zu fahren, weil unsere Rostock-Tallin etwas 95€ gekostet hat.
Direkt am Abend, haben wir von Tallin dem Bus nach Sankt-Petersburg genommen. Es war eine estonische Eurolines Bus (für etwas 25EUR/pers.) Unglaublisch aber war, es gab WLAN in der Bus während der Reise… Naja, also bis die Grenze mit Russland wahrscheinlich.
Zum Thema Grenze, die Russische Grenzen sind etwas… militarisiert. Welche Leute sagen, dass es so ist, wegen die schlechte Beziehung mit Estonia… Auf jeden fall, es war ziemlich stressig am Grenze, zwischen eine Papier der Immigration in Cyrillish einzufühlen (jetzt ich weiss, dass ich als “eingeladene Person” etwas abgeschrieben habe der heisst : “Name, Vorname” :-)), und eine Kontrolle der komplette Bus, mit einem Hund der uns sucht, in einem gesperrt Raum…
Wir sind endlich früher als gedacht um 6:00 in S-Petersburg angekommen. Weil wir keine Ahnung hatten, wir haben nach der Terminus gewartet, der nicht so genau in der Zentrum liegt… Die erste Kontakt mit Leute die keine Englisch sprechen, und die zur Arbeit fahren, wenn man gerade aufgestanden ist war nicht so überzeugende… Wir hatten aber eine Coachsurfing für uns 3 gefunden, der wirklich super nett ist.
Es gibt in Sankt-Petersburg etwas 2000 “Studios” für Kunstler die Raum brauchen. Es ist immer dachgeschoss Wohnungen, die die Stadt gehören, und werden für sehr wenig geld vermittet. Unser Host wohnt und arbeitet in so eine Werkstatt, und hat dafür viel platzt um Coachsurfer zu beherbergen. Wir sind 2 Nächte bei ihn geblieben, und wir waren insgesammt 8 Coachsurfers. Durch ihn, haben wir auch eine sehr nette frau kennen gelernt, die uns super viel geführt hat, und auch alle unsere Zugfahrkarten organisiert hat.
Es ist gut zu wissen, dass die Transibkarten sich sehr gut auf Internet kaufen lassen. Der einzige Problem ist, dass der Webseite nur auf Russisch ist. Die Automaten, um die Karte zu drücken, sind auch nicht übersetzt. Mit ihre Hilfe, haben wir sehr schnell :
– 3 Nachtzug von Sankt-Petersburg nach Moskow gebucht (~1000 Rublen / pers ~= 30€)
– 3 Moskow -> Irkutsk mit dem Transib (3400 r / pers =~ 100€) für 89 Stunden von Zug
– die 2 Irkutsk -> Wladiwostock für Anna Lena und Simon für die selbe Preis.
Für alle die fahrkarten, wir haben die 3. Klasse genommen, die wir jetzt getestet haben. Es ist eigentlich sehr gut. 36 Leute in einer Wagon, mit Bett für allen. Wirklich klasse und nett.
Ich habe erstmal Sankt-Petersburg nicht so toll gefunden. Erstmal sehr stressig, sehr verschmutzt (es ist manchmal schwirig zu atmen), aber wenn der Sohne untergeht, alles fängt etwa schöner zu werden. Ich stelle bald ein Paar Bilder online. Es gibt auch eine Besonderheit in S-Petersburg. Jede Nacht ab 1:00, alle Brücke zwischen die Insel mit dem alte Zentrum, schliessen sich zu die Auto-Verkehr, und öffene sich, um eine Durchgang für die grosse Schiff zu lassen. Die werden wieder um etwas 3:30 zugeschlossen. Es ist wirklich sehr beeindrückend !
In Sankt-Petersburg, haben wir auch erfahren, wie die Immigration Politik von Russia geht. Die Ausländer wie uns, müssen sich registrieren lassen, bei jeder Ort, wo sie mehr als 3 Tage verbringen. Wenn man sowas nicht macht und kontrolliert wurde, es kann grosse Problemen geben (zB, die Polizei nimmt deine Reisepass mit). Wir haben bemerkt, dass viele Polizisten Facies-Kontroll in die U-Bahn Stationen machen. Simon wurde eigentlich kontrolliert, und nach seinem Reisepass gefragt. Die Datum war aber eigentlich in Ordnung, und wir hatten dabei unsere tolle “Reiseführerin”, deswegen ist es alles gut gelaufen. Mal sehen wie es nächstes Mal geht. Eigentlich, werden wir uns am Baïkal see registrieren, weil es schon besser eine Registrierung zu haben, wenn man aus Russland reist.
Gestern sind wir von Sankt-Petersburg mit dem Nachtzug gefahren, und in Moskow heute früh angekommen. Diese erste Zug Erfahrung war eigentlich ganz Nett, und die 3. Klasse ist ganz besser als was ich schon in 2. Klasse in Frankreich/Italien erlebt habe 🙂 Noch eine Besonderheit : hier muss mann seinem Reisepass für sehr viel Sachen benutzen : um eine Zugkarte zu kaufen (nur für die lange fährte), um eine Gepack bei der Bewahrung zu lassen, …
Heute haben wir schon die Rote Platz und die Kremlin besischtigt. Mehr darüber schreibe ich später.

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Saint-Petersbourg

Je profite des 87 heures de transibérien pour rattraper le retard de mes articles… C’est assez factuel et mal écrit…
Commençons donc par Saint-Petersbourg.
Nous avons passés 2 nuits et 3 jours à Saint-Petersbourg. Juste le temps limite pour ne pas avoir à s’y enregistrer comme migrant. C’est difficile de se faire une idée sur une ville en si peu de temps, mais je vais essayer de retranscrire un peu ce que j’en ai vu et ressenti.
La première impression de la ville était assez agressive et stressante. Il faut dire qu’arriver à 6h du matin à la gare routière lorsqu’il fait encore nuit, qu’il pleuviotte, et qu’on vient de se faire réveiller en russe sans trop comprendre qu’on  est arrivé, c’est pas le plus facile. Ensuite, prendre le métro un lundi matin à l’heure où les gens vont au travail, ça n’aide pas non plus. Bref, première impression : les gens sont stressés, courrent tout le temps (au sens premier du terme), klaxonent avec leur gros 4×4, et ne sont pas forcément des plus aidant.
Coup de bol, à Saint-Petersbourg, il y a une traduction anglaise partielle des tarifs du metro affichée à côté des caisses. En recopiant l’équivalent en cyrillique du carnet de 10 tickets, on a été en mesure d’acheter nos tickets de métro comme des grand-es. Le couple carnet-stylo est vraiment indispensable dans la poche à tout moment 🙂
Après avoir terminé notre nuit dans un café, nous avons rejoint la personne nous hébergeant dans son “studio”. Par Studio, les artistes de saint-petersbourg entendent un grand appartement au dernier étage d’un immeuble, qu’ils/elles peuvent partager pour travailler et/ou habiter. Notre hôte Peter nous a d’ailleurs expliqué qu’il y  avait autour de 2000 studios dans ce genre dans St-Petersbourg. Ces lieux sont des restes de l’époque soviétique, et appartiennent à la ville qui les louent pour l’équivalent de 300€/mois aux artistes. Pour vous donner une idée, le prix moyen des logements à saint-petersbourg est au dessus du prix des loyers à Berlin. Donc un 7 pièces de 250m^2 pour 300€, c’est vraiment rien. Le processus de privatisation bien en marche se heurte par contre à une tradition politique soviétique, qui permet à ces collectifs d’artistes de conserver leurs espaces du fait de bones relations…
Bref, Peter nous a indiqué quelques lieux à aller voir au centre de la ville. La première impression lorsqu’on marche : la ville est grande. Faire le tour du centre historique, avec les fortifications sur l’île au milieu de la ville nous ont pris 5 bonnes heures. Avec ça, on avait fait peut être un carré de la carte. Ma première impression n’a pas forcément été positive. J’attendais une ville magnifique, et j’ai trouvé une ville impressionnante, mais extrêmement poluée, surchargée de bagnoles, et où finalement les batiements ne sont pas si beau que ça vus de près.
Après quelques heures de promenade, la lumière a changée, et là, tout est devenu beau. Ça parait bizarre comme ça, mais c’est pourtant le cas. de 18h à 21h, Saint-Petersbourg gagne en beauté. Les reflets orangés sur la ville donne à l’architecture quelque chose de prennant. Peut être qu’on a simplement eu de la chance ce jour là, mais ça a effacé ma première impression de la ville.
Le soir, nous étions 8 couchsurfers à la table de Peter. Nous avons alors rencontré Michal, un tchèque habitant en Russie, mais rendant visite à Anya, une Saint-Petersbourgeoise.
Anya nous a rapidement pris sous son aile, et est devenue notre guide-ange-gardienne pendant tout notre séjour. Elle nous a amené visiter les jardins du palais de Pierre le Grand à “Peterhof” le lendemain. Ce lieu a été construit en s’inspirant de l’architecture de Versailles. Les fontaines sont très impressionnantes, et un certain nombre de fontaines sont conçues sous forme de jeu, s’activant au passage des gens. D’ailleurs, Simon a trouvé le métier qu’il aimerait faire quand il sera plus grand…
Le lendemain, nous avons visité le sud de la ville, et plus exactement l’ancienne boulangerie municipale reconvertie en salle d’exposition. C’est typiquement un lieu que je n’aimerais pas si il était à Berlin, mais j’ai trouvé intéressant de le visiter ici. Le lieu a semble-t-il été privatisé, pour être transformé en ce qu’il est devenu. C’est un espace immense, où se cotoient boutiques d’artistes (vêtement, livres, …) bars, cafés, et salles d’exposition. Le quartier dans lequel cet endroit s’est installé est pour l’instant un peu plus populaire que le centre, et un peu plus abordable. Peut être que je suis un peu monomanique, mais ça sent la gentrification à plein nez. Mais bon, on y a passé une bonne après-midi malgré tout, alors je vais pas trop critiquer 🙂
On a terminé la soirée en prenant notre train de nuit pour Moscou à 22h depuis la gare “moscovite” de saint-petersbourg. Anya nous bordé jusque dans nos lits avant de nous laisser partir pour cette seconde étape.
Je pense que je reviendrai, avec un peu plus de temps pour approfondir un peu cette impression rapide.

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Enregistrement des migrant-es

Une chose qu’il est bon de savoir quand on veut voyager en Russie.
Lorsque l’on obtient un visa de tourisme pour la russie, il s’accompagne d’un petit papier qui est une invitation d’un-e citoyen-ne russe (ou d’un hotel). Au moment de passer la frontière, il nous ai demandé de remplir en double un petit papier de l’immigration, sur lequel on recopie bêtement des informations qu’on trouve sur le visa et sur l’invitation.
Comme la Russie est très ouverte, ils/elles ont traduit le papier en anglais. Ce qui est plutôt pratique. En gros, toutes les informations sont faciles à recopier, mais je vous donne 2 trucs :
– En Russie, les personnes ont un “patronyme”. C’est en quelque sorte leur second prénom, et c’est une forme d’adjectif dérivé du nom de leur père. Il n’est pas nécessaire de remplir ça, parcequ’on a pas ça ici.
– Pour le nom et la localité de l’invitation, c’est bien d’étudier un peu avant le papier agrafé à la fin de votre passeport. Moi j’ai recopié bêtement “Nom, Prenom, Moscou” dans les cases appropriées… On verra ce que ça donne quand(/si) je sortirai du pays…
Sinon, il est théoriquement obligatoire de s’inscrire auprès des autorités lorsque l’on passe plus de 72H dans la même ville. Pour l’instant, nous sommes restés en dessous de cette limite, et nos billets de train sont là pour le prouver. Pour la sécurité, nous avons photocopiés les billets de train, ainsi que nos passeports. Il faut savoir que la police russe pratique très souvent les contrôles au faciès, pour essayer de déceler les personnes en situation irrégulière. Simon a subit son premier contrôle de passeport le 2ème jour en sortant du métro de Saint-Petersbourg pour cause de lenteur. Pendant notre séjour à Saint-Petersbourg, nous avons d’ailleurs eu l’occasion d’assister à 2 autres contrôles, toujours dans les stations de metro. Tout le monde nous conseille d’ailleurs de présenter uniquement des copies de nos passeports lors des contrôles de police. Ils semblerait qu’il y ait beaucoup d’antécédants, où la police rançonne les passeports des touristes contre de l’argent. J’espère que ça n’arrivera pas 🙂
Il semblerait aussi que la sortie du pays puisse être problématique, si l’on n’a pas réalisé cet enregistrement. Nous allons donc nous faire enregistrer à Irkutsk en arrivant.  Il y a 2 solutions classiques pour se faire enregistrer:
– payer un hôtel pour qu’ils le fassent (ils facturent 20€ un petit tampon en général)
– demander à son hôte de faire les démarches bureaucratiques pour s’enregistrer chez lui/elle. C’est gratuit, mais c’est chiant pour la personne qui vous héberge.
On verra si un seul enregistrement et 2 tickets de train suffisent pour montrer patte blanche pour sortir du pays sans encombres. Je pense que ça devrait aller,  doucement on s’habitue à la Russie, et nos peurs s’estompent un peu…

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Passage de la frontière russe

Ça y est, on a passé la frontière russe. Toute une aventure.
Le bus est arrivé à la frontière russe vers 1h50 du matin dans la nuit de lundi à mardi. Je crois que je n’avais jamais vu une frontière de ce type. Vers 1h50, le bus est arrêté, au poste frontière et les douaniers montent dans le bus en prenant tous les passeports qu’ils amènent dans leur bureau pendant une 15 aine de minutes. Lorsqu’ils reviennent nous les rendrent, je remaque qu’il n’y a pas de tampon sur le visa russe. L’explication est simple, ça n’est pas la douane russe, mais la douane Estone qui contrôle les sorties du territoire. On passe donc dans le no-mans-land qui sépare la russie de l’estonie. On appelle ça une zone démilitarisé je crois, mais bizarrement, j’ai rarement vu autant de militaires. Des grilles de 15m de hauteur entourent la route des 2 côtés. Des caméras de vidéo-surveillances sont omni-présentes. Après une centaine de metres, le bus est arrêté pour le contrôle par la douane russe.
Le chauffeur est russe, les annonces au micro sont faites uniquement en russe. On comprend par observation mimétique qu’il faut prendre nos affaires et descendre du bus pour que tout le monde aille dans le bureau de la douane. On prend également nos sacs respectifs qui étaient dans la soute. Quand les dernières personnes du bus entrent dans le local de contrôle de la douane, la porte est fermée à clef derrière elles depuis l’extérieur. C’est rassurant. On présente nos passeports respectifs à un guichet qui nous tamponne la date d’entrée, ainsi que le papier du service de l’immigration que l’on a du remplir dans le bus. L’adresse de la personne invitante recopiée sans la comprendre semble passer comme une lettre à la poste.
Après celà, nous sommes tous priés de laisser nos affaires au sol, et d’attendre dans une grande pièce où un chien vient nous renifler les fesses. Je ne sais pas à quoi il est entraîné, mais il n’a pas reniflé le fromage que j’ai entré sur le territoire russe 🙂 (en même temps, c’est du fromage finois qui ne sent pas beaucoup…)
Après 30 minutes, chacun-e rejoint le bus pour continuer le périple vers Saint-Petersbourg. On a perdu personne à la frontière sur la 30aine de voyageu-ses/rs du bus. J’ai trouvé assez intéressant de voir la tension omni-présente parmis les voyageu-ses/rs lors du passage de la frontière. Une dame s’est recoiffée avec son petit mirroir avant le contrôle. J’ai trouvé ça plutôt rigolo, mais c’était surtout l’expression d’une forme de stress pour elle. Ça fait du bien de se souvenir à quoi sert une frontière qand on est pas du bon coté. Je peux un tout petit peu mieux imaginer la sensation des migrants qui tentent de rejoindre l’Europe maintenant…
On a fini par arriver à Saint-Petersbourg avec 45 minutes d’avance à 6h15 du matin. Le chauffeur nous expliquant que c’était le terminus, et qu’il était temps qu’on parte si on ne voulait pas rentrer à Tallin avec lui. Un réveil en plein dans le bain, dans un quartier où personne ne parle anglais. Voilà, il est temps qu’on se mette vraiment à causer russe !

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2 jours, 4 pays.

Ça y est, j’ai enfin mis à peu prêt en place le blog, et posté les articles que j’avais commencé à écrire jusqu’alors. Mais j’ai fait ça depuis le chemin, parceque je suis parti.
On est donc parti-es de Berlin samedi 11 septembre, dans l’après midi par le train régional jusqu’à Rostock. Avec un Wochenende Ticket à partager à 3, ça revient à 12€/personne, donc pas trop cher. On est arrivé-es vers 19h à la gare de Rostock pour continuer en S-Bahn jusqu’au port. Au terminus, on était 5 dans le S-Bahn. C’est comme ça qu’on a rencontré une Australienne qui a abandonné son travail pour partir faire le tour du monde depuis 6 mois, et un finlandais qui rentrait chez lui après des vacances en allemagne.
Pour le plaisir de vos yeux, voilà une photo de la dream team dans le train

On avait pré-reservé des places sur les ferrys Rostock-Helsinki et Helsinki-Tallin (et Estonie). En arrivant, on s’est rendu compte qu’on avait préreservé une cabine, pour un prix de 120€/personne. Après avoir redemander au check-in, on a pu finalement réduire nos dépenses de bâteau à 95€/personne en dormant dans les salles de réunions du ferry.
Pour la mémoire, la compagnie de ferry est tallink. Une compagnie estonienne.

Le premier ferry Rostock-Helsinki est parti dimanche 12 dans la nuit à 2h du m
atin. Il est arrivé 29h plus tard à Helsinki le lundi à 7h du matin. Donc 2 nuits à dormir par terre dans une salle de réunion partagée à une 10 aine de personnes. Je vous passe le fait qu’il y avait internet en wifi sur le bâteau pendant la traversée, je reviendrai la dessus plus tard en écrivant un article sur l’estonnie… L’expérience qui a été la plus intéressante sur ce bâteau, ça a été la rencontre de Andrej. Un russe qui baraguine quelques mots d’anglais, et avec qui on a pu essayer de communiquer et d’apprendre quelques mots de russe. C’est pas gagné, mais en gesticulant beaucoup, on arrive parfois à des résultats amusants… C’est comme ça qu’on a réussi à comprendre que Andrej pense que le Tofu rend impuissant, et qu’il est bon de manger de la vache morte.
29 heures sur un bâteau, ça a été un entrainement intéressant pour ce qui nous attend sur le transibérien. C’est très intéressant de voir à quel point on peut apprendre à devenir tolérant à des propos assez limites, quand il y a une volonté de se comprendre sur des choses simples, et l’impossibilité de se contredire. D’un autre côté, avoir des conversations avec un russe qui te parle russe alors que tu comprends rien, et bien c’est un peu usant à la longue. Ça aura eu le mérite de nous obliger à nous motiver un peu pour apprendre quelques mots de russe… Qui sait, peut être qu’on ira le voir à Moscou. En attendant, il m’a appris un mot très important : chômeur.
Voilà quelques photos prises sur le bateau :



Bref, après cette expérience maritime de 2 nuits, on est arrivés à Helsinki. Première impression, c’est plutôt sympa. Par contre, on a pas pu visiter le centre parcequ’on était un peu fatigué-es de la soirée arrosée de la veille (pour apprendre le russe!), et qu’on devait reprendre le bâteau suivant pour Tallin 7h après d’un autre port à l’autre bout de la ville. On a quand même pu voir un peu le quartier universitaire, où sans doute un jour Linux est né (mais c’est une autre histoire). J’en avait déjà entendu parlé, et j’ai pu testé par moi même. À Helsinki, il est très très facile d’avoir du wifi ouvert pour accéder à internet depuis n’importe où. Il semblerait que les habitant-es aient pris l’habitude de laisser leur wifi ouvert, pour que les personnes en déplacement puissent en profiter. C’est vraiment agréable et pratique. Je ne sais pas si la législation est différente, mais en tout cas, c’est bien pratique. De la même manière, au Terminal du port, un wifi ouvert est à la disposition des visiteu-ses/rs. Mais je m’égare, je crois que mes lect-rices/eurs ne sont pas autant des geek que moi 🙂
En se promenant à Helsinki, on a remarqué que des personnes en mini-bus portaient des panneaux “saint-petersbourg”, et demandaient aux passant-es avec des valises si ils/elles souhaitaient aller à Saint-Petersbourg. Si on avait regardé une carte avant de reserver nos billets, on aurait d’ailleurs fait Rostock-Helsinki-StPetersbourg, parceque beaucoup de gens font ça comme ça. Des russes se sont d’ailleurs gentillement foutu de notre gueule du fait qu’on reprenait un bateau vers l’estonie pour aller là bas. Bref, si c’était à refaire, le trajet le plus court / moins cher ne passe pas par Tallin.
Mais bon, voilà quelques photos prises à Helsinki pendant ces quelques heures…




La traversée Helsinki-Tallin dure pour sa part seulement 2 heures. Comme pour Rostock-Helsinki, il y a internet en wifi pendant la traversée. Il y a pas à dire, c’est très pratique, par exemple pour organiser du couch-surfing… C’est en arrivant en Estonie que je me suis souvenu de l’explication de cette omniprésence d’internet. Je ferais ça dans un autre billet, mais l’estonie est un pays de geek, et ils/elles se revendiquent comme ça.
Revenons en un peu au tourisme. On s’est promené de 16h à 22h dans Tallin, est il faut dire que c’est assez joli. Le centre médiéval est assez bien conservé, et il y a beaucoup de maisons en bois dans le centre de la ville. C’est assez inhabituel, et je dois avouer que ça m’a bien plus. L’ambiance est un peu un mélange de Skandinavie et de pays de l’est.
Voilà quelques photos pour vous donner une petite idée.


L’estonie va entrer dans les prochains mois dans la zone euro. On commence à voir des cartes à double affichage Euro/Courrones dans les restaurants, mais c’est pas possible de payer en euros. Pour une ville qui a semblé très bourgeoise, les prix était étonament bas. Juste pour le souvenir, on a mangé dans une crèperie des crèpes énormes (j’étais callé avec une seule), pour l’équivalent de 3€50. Je paris que 1an après leur entrée dans la zone euro, le court de la crèpe va doubler…
Bref, on a fini par prendre le bus pour saint-petersburg depuis la gare routière de Tallin. Pour environs 25€/personne, on passe la nuit dans le bus et on se réveillera demain matin à Saint-Petersbourg. Comme le bus est géré par une compagnie estonienne, et bien il y a du wifi dans le Bus, et des prises de courant pour brancher les ordinateurs portables… La dernière épreuve de la soirée, remplir le petit formulaire pour les douanes russes. Recopier des numéro de visa, et des trucs en cyrilique dans un bus qui roule relativement vite et vibre beaucoup. Derrière le papier, il est spécifié que ce papier doit être très lisible et non raturé… Ça a été assez sportif, et on va voir si ça passera à la frontière sans problème. En attendant, je vais taper un petit roupillon…
PS : je metterai les photos dans l’article demain, j’ai la flème là….
Update : je crois que c’est fait.

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